

Le complexe d’Œdipe...
L’œuvre Freudienne est scandée de références théâtrales, en témoigne, une lettre devenue désormais célèbre, datée du 15 octobre 1897, adressée à l’ami berlinois Wilhelm Fliess, Freud pose un jalon de la théorie psychanalytique : le complexe d’Œdipe. Il écrit : « La légende grecque s’empare d’une contrainte que chacun reconnaît parce qu’il en a ressenti l’existence en lui-même. Chaque auditeur a été un jour en germe et en fantaisie cet Œdipe, et devant un tel accomplissement e

Le roi Œdipe... une identité usurpée, illusoire ou hypothétique ?
Et si le roi Œdipe,
dont la persona (le masque) Freud oblige,
devenu le “tattoo” du surmoi était par ailleurs, le modèle non seulement du destin comme fatalité, mais de la silhouette théâtrale en tant que pré-nom d’une identité usurpée, illusoire ou hypothétique ? OEDIPE ROI le mardi 28 février 2017 au Théâtre Espace Marais à Paris. Débat avec Marianne Carabin et Margot Ferrafiat-Sebban
A Corps Perdus, théâtre & Psychanalyse


La marionnette de son histoire ? Œdipe !
OEDIPE ROI Débat
Théâtre Espace Marais Mardi 28 février 2017 à 18H30 Animé par Margot Ferrafiat-Sebban et Marianne Carabin, co-fondatrices d’A Corps Perdu (association Théâtre et psychanalyse)
Oedipe dont Freud a fait l’instance dominante de l'inconscient, est il bien chez Sophocle la marionnette de son histoire refoulée. ( meurtre du père, incèste avec la mère ) ?
Peut -on en inférer que le rapport au pouvoir est de façon récurrente un rapport œdipien qui caractérisait

D'où viennent ces voix qui percent...
D'où viennent ces voix qui percent les masques depuis les tragiques grecs en passant par Shakespeare, Goldoni, Molière, Racine, Marivaux, Schiller, Musset ? Jusqu'à Tennessee Williams, Ionesco, et Becker de quoi nous parlent-elles et pourquoi résonnent-elles en nous de façon si profonde ? Le théâtre n'est-il pas la représentation à chaque fois réinterprétée de la scène mythologique et archétype du sphinx ? Arlequin lui-même : c'est un insolent malicieux ou un trébuchet de


Questionnons le théâtre !!!
La société de consommation et du spectacle aurait-elle déjà condamné le théâtre au dépérissement inéluctable ? Faut-il se ranger à l'unanimité de ce constat sans avoir pris le soin d'ausculter le malade ? Et si ce moribond que l'on dit agonisant, n’était à tout prendre que le corps symptôme d'une société elle-même profondément aliénée, aliénée de ses propres désirs, de l'expression de ces conflits internes, bref de sa voix? C’est à ce débat sur ”Théâtre en questions” que